J'aime ce désespoir langoureux & enivrant qui embaume les mots de Marguerite Duras...
Que ce soit L'amant, ou, encore mieux, Le Marin de Gibraltar, je la trouve terriblement fissurée, brûlante, mais à la fois belle, juste & profonde.
J'aime cette douleur-éthanol qui s 'échappe du livre quand j'en tourne les pages...
J'aime la douceur aigre-amère -mais si savoureuse- qui s'évade de mon coeur après lecture de ses livres.
J'aime vraiment Duras.